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Ces 13 nouvelles glaçantes de Shirley Jackson feraient pâlir d'angoisse Hitchcock lui-même.
Sous un cuir souple et de qualité se cache le sang à peine séché de la bête : les nouvelles de Shirley Jackson distillent une petite musique qui endort la vigilance pour mieux glacer le sang et faire craquer les articulations. Découvrez l'essence de l'horrifique avec la maîtresse incontestée du genre à travers ses gentilles et cruelles nouvelles parues en 1948. Il ne faut pas résister aux sombres humeurs des lectures, au scalpel, de Pierre-François Garel. -
Un amour fou prend possession d'un jeune homme qui vient d'être ordonné prêtre, seulement la belle élue de son coeur meurt quelques jours plus tard. Mais son fantôme se réveille pour pourchasser son amoureux, depuis l'au-delà.
Cette histoire semble avoir été écrite par un fantôme revenu dans le siècle pour dévorer son âme-soeur. Elle est désormais également lue par un fantôme, la voix de Pierre-François Garel jette un voile sépulcral à travers une interprétation que l'on qualifierait, avec raison, de maligne.
Laissez-vous dériver dans une zone trouble entre la vie et la mort, entre le bien et le mal. Puisque c'est par amour. -
Un bar perdu dans Brooklyn est au croisement des destins perdus d'une mosaïque de personnages, plus perdus, plus cruels, plus désespérés et pleins de morgue les uns que les autres.
Paru en 1964, interdit dans plusieurs pays, voici le texte le plus fort, le plus âpre, le plus acide et le plus génialement violent, stupéfiant, allumé que nous propose l'Amérique dans toute sa démesure. La lecture de Pierre-François Garel déroule un continuum de tensions et d'amertumes où l'humanité, étrangement, resplendit. -
Ce livre audio présente l'interprétation des nouvelles suivantes : Retour de l'enfant, Le Remord, Un déséquilibré, Le sauveteur, Rencontre. Des textes inquiétants et mélancoliques, une écriture à la marge.
Les âmes ne savent après tout rien faire d'autre qu'errer sans but dans une existence pleine de promesses et qui finit souvent dans la brume. Avec humilité et sens du détail, voici quelques nouvelles qui vont à l'os d'une littérature dans sa mission la plus douloureuse : montrer la tristesse du monde - et suggérer malgré tout quelques consolations.
Épousant les formes précises et nettes de l'écriture choisie d'Emmanuel Bove, Pierre-François Garel propose une lecture aussi tendre que nostalgique.