Non content d'être l'un des réalisateurs les plus talentueux et adulés de sa génération, Quentin Tarantino est peut-être le cinéphile qui sait le mieux parler de films et transmettre sa passion incandescente pour le cinéma. Ayant fréquenté dès son plus jeune âge les salles obscures, c'est au Hollywood des années soixante-dix, celui de ses années décisives de formation, qu'il consacre plus particulièrement Cinéma spéculations - un director's cut aussi intellectuellement rigoureux que joyeusement exubérant. Mêlant histoire personnelle, anecdotes truculentes, analyses et critiques de films, Cinéma spéculations offre au lecteur, entraîné par la verve unique et grisante de Quentin Tarantino, une fascinante leçon de cinéma et de vie.
Avant de s'imposer comme un immense metteur en scène, François Truffaut a inauguré une nouvelle façon de regarder les films et d'en parler. Ses articles passionnés pour les Cahiers du cinéma en témoignent. Ce livre, devenu une bible pour tous les cinéphiles, rassemble les articles que Truffaut avait lui-même sélectionnés - sur les classiques français, les grands d'Hollywood, mais aussi ses « copains de la Nouvelle Vague » et ses réalisateurs préférés : Bergman, Renoir, Chaplin...
Le premier de ces écrits, intitulé « À quoi rêvent les critiques ? », analyse l'ambiguïté des relations entre les créateurs et ceux qui les jugent. « Lorsque j'étais critique, écrit Truffaut, je pensais qu'un film, pour être réussi, doit exprimer simultanément une idée du monde et une idée du cinéma. Aujourd'hui, je demande à un film que je regarde d'exprimer soit la joie de faire du cinéma, soit l'angoisse de faire du cinéma et je me désintéresse de tout ce qui est entre les deux, c'est-à-dire de tous les films qui ne vibrent pas. »
Analyser un film, c'est avant tout s'interroger sur l'origine de nos émotions. Comment un simple film peut-il réussir à nous parler, à nous bouleverser, à changer l'image que nous avons de nous-mêmes, à nous persuader qu'il dit des choses vraies sur le monde qui nous entoure ?
Pour répondre à ces questions, Laurent Jullier propose trois types de lectures filmiques : 1) l'analyse typologique : quel genre d'histoire racontent les films ? 2) l'analyse formelle : quel arsenal technique et symbolique déploient-ils ? 3) l'analyse conceptuelle : quelles interprétations permettent des disciplines comme la sémiologie, l'esthétique, les Gender et les Cultural Studies, l'anthropologie, la psychanalyse, la narratologie, la poétique historique... ?
Sans distinction d'époque, de prestige ou de genre, Laurent Jullier convoque un grand nombre de films du patrimoine mondial et s'adresse à la fois aux étudiants, aux enseignants et à tous les cinéphiles.
Jean Seberg et Jean-Paul Belmondo déambulant sur les Champs-Élysées dans À bout de souffle, Jean-Pierre Léaud fuyant son enfance délinquante sur une plage de Normandie dans Les Quatre Cents Coups : autant d'images qui incarnent la mythologie de la Nouvelle Vague.
La liberté scandaleuse de Brigitte Bardot dans Et Dieu créa la femme avait ouvert la voie en 1956. Entre 1959 et 1962, de jeunes cinéastes - François Truffaut, Jean-Luc Godard, Claude Chabrol, Éric Rohmer... - changent le visage du cinéma français. Ils imposent à l'écran, stylisés, des gestes, des attitudes, des apparences, des manières d'être, d'aimer, dans lesquels se reconnaissent d'emblée les spectateurs de leur génération.
Mouvement de cinéma, mouvement de jeunesse : c'est ce moment unique de l'histoire culturelle française que retrace et analyse Antoine de Baecque.
« Le film est le type même de l'oeuvre qui réclame un style. » R. B.
Pendant quarante ans, Robert Bresson a accordé nombre d'entretiens à la presse française et étrangère, à la radio et à la télévision. Ses réponses aux multiples questions, de toutes sortes, apportent d'importantes précisions sur ses films, son art et l'évolution de sa pensée. Et elles accompagnent, devancent, prolongent ses Notes sur le cinématographe.
Interrogé par Yvonne Baby, François-Régis Bastide, Michel Ciment, Serge Daney, Pierre Desgraupes, Jean Douchet, Jean-Luc Godard, André Parinaud, Georges Sadoul, Roger Stéphane ou Serge Toubiana, entre autres, Robert Bresson parle avec passion, simplicité, détermination et humour de tous les éléments d'un film qui, savamment combinés, font du cinématographe un art à part entière.
"Chacun de nous porte en soi une vision intérieure. Une photo réussie est, en partie, le portrait de son auteur."
En 1983, puis en 1989 et en 2006, Willy Ronis fait don de l'ensemble de son oeuvre à l'État français. Pour accompagner ce geste, il rassemble dans des albums une sélection de ses meilleures photographies ; pour chacune, il écrit un commentaire fait de souvenirs et d'anecdotes, s'attachant aux conditions de la prise de vue et aux informations relatives au tirage.
Au total, ce sont 590 photographies qui forment un portrait sensible et autobiographique de Willy Ronis.
Cet ouvrage exceptionnel reproduit l'intégralité du contenu, jusqu'alors inédit, de ces albums.
" Je ne crois pas du tout qu'une fée spécialement attachée à ma personne ait, tout au long de ma vie, semé des petits miracles sur mon chemin. Je pense plutôt qu'il en éclot tout le temps et partout, mais nous oublions de regarder. Quel bonheur d'avoir eu si souvent les yeux dirigés du bon côté ! "
Que se passe-t-il lorsqu'une oeuvre littéraire est adaptée au cinéma ? Pour analyser le passage du texte à l'image, comment aller au-delà d'une simple énumération des changements ? Une adaptation cinématographique est-elle une interprétation d'un texte ou un objet autonome ?
De La Princesse de Clèves à Shining, de Tamara Drewe à Madame Bovary, Jean Cléder et Laurent Jullier examinent les notions de personnage, de narration ou de fidélité, pour présenter des clefs de réflexion dans cette perspective : mieux comprendre ce qui se joue lorsqu'un livre devient film (et inversement).
Analyser une adaptation nous invite à identifier les spécificités de chaque genre et les passerelles qui les relient, en abandonnant la séparation entre les arts qui limite la compréhension de la littérature comme du cinéma, pour les faire véritablement dialoguer.
Jean-Paul Belmondo et Carlos Sotto Mayor, couple mythique du show-biz. En dépit des années, des tentations et de la jalousie, ils se sont tant aimés...
En 2020, soit quarante ans après leur liaison orageuse, Belmondo malade et affaibli demande à Carlos, sa « fée atomique », avec qui il est toujours resté en contact, de revenir en France. La passion des années 1980 a fait place à la tendresse.
Dans ce livre hommage à l'homme de sa vie, Carlos Sotto Mayor, incandescente chanteuse et actrice brésilienne, revient sur son parcours et son amour pour Bébel. Elle n'a rien oublié et nous livre ses confidences sur son couple rock and roll et glamour.
Cinéaste et écrivain illustre, l'académicien Marcel Pagnol (1895-1974) est un auteur incontournable du XXe siècle. Topaze, Marius, Fanny, La Femme du boulanger ou encore Manon des sources et La Fille du puisatier connaissent toujours un fort succès. Inspiré par son enfance dans les collines provençales, Marcel Pagnol a construit son oeuvre sur les caractères et les sentiments de ses personnages.
Pour la première fois, son petit-fils Nicolas Pagnol ouvre les archives privées de la famille : photographies, documents inédits, manuscrits et correspondances.
Il fait revivre de grands moments du cinéma français et raconte avec tendresse l'histoire exceptionnelle de son grand-père, dont la vie privée fut jalonnée de joies mais aussi de drames. Marcel Pagnol l'écrivain, le cinéaste, le producteur, qui fut président du Festival de Cannes, fut aussi un chercheur solitaire passionné par les sciences et les inventions d'objets insolites.
Dans Marcel Pagnol, l'album d'une vie, Nicolas Pagnol nous livre, avec plus de quatre cents photographies, le parcours d'une personnalité hors du commun.
Il a été la plus grande star du cinéma français et ses films continuent de faire les belles heures de la télévision.
Les acteurs de la nouvelle génération, Jean Dujardin en tête, ne cessent de clamer haut et fort leur dette envers ce comédien qui ne s'est jamais pris au sérieux - au risque de ne pas être pris au sérieux. Avec À bout de souffle, il a renouvelé la manière de jouer et les canons de la beauté masculine. Insouciant et turbulent, rebelle, d'un naturel saisissant, intrinsèquement moderne, il est devenu le héros blagueur et intrépide de films dont il n'hésitait pas à exécuter lui-même les cascades.
Comment s'est forgé le mythe Belmondo ? Que cache-t-il derrière ses facéties et sa pudeur ? Comment cet homme surdoué pour la vie a-t-il surmonté les épreuves - notamment la maladie qui l'a rattrapé en 2002 ?
Dans cette enquête intime, enrichie de rencontres de l'auteur avec la star, une quarantaine de proches racontent leur Belmondo : l'acteur, le pote, le séducteur, le mari... Belmondo, l'incorrigible ou le portrait d'une vie mais aussi d'une époque : l'âge d'or du cinéma populaire français.
«On pourrait y faire tenir un petit avion et on y a fait tenir un petit avion. Mais aussi un train, une montgolfière, une fusée-obus et d'autres véhicules plus extravagants encore. Le lieu est submergé d'images fantasmagoriques.
Elles viennent frapper Monsieur Méliès les unes après les autres, se succédant plus vite que sur une pellicule de cinématographe. »
C'est la découverte d'une boîte remplie de lettres et de photographies qui inspire à Sophia Loren ce livre plein de vie, où se déploie le destin d'une gamine peu sûre d'elle mais d'une beauté « à faire ressusciter les morts », d'une jeune Napolitaine qui, en l'espace de quelques années, conquit le monde.
Derrière la star, on découvre le sourire d'une femme timide mais déterminée, qui dès l'enfance a enduré bien des épreuves, a travaillé toute sa vie avec acharnement et a su aimer d'une passion authentique. Sophia Loren nous guide ainsi en personne dans sa ville natale de Pozzuoli dévastée par la guerre, dans la Cinecittà des premiers grands péplums américains, dans le Naples en noir et blanc de Vittorio De Sica. Elle nous fait marcher sur les pas de Cary Grant, Marcello Mastroianni ou Audrey Hepburn, nous emmène avec elle sur les tapis rouges de Hollywood, Cannes et Berlin en compagnie de Charlie Chaplin, Ettore Scola et tous les plus grands. Mais elle nous conduit aussi dans les coulisses, là où bat son coeur d'épouse, de mère et de grand-mère, au sein d'une famille qu'elle considère depuis toujours comme son meilleur film.
Au-delà du voyage passionnant dans l'histoire du cinéma, c'est aussi un conte de fées qui, un jour, est devenu réalité.
Sophia Loren compte parmi les actrices les plus célèbres au monde. Au cours de son extraordinaire carrière, elle a joué dans plus de cent films et remporté de multiples récompenses, parmi lesquelles le Lion d'or du festival de Venise, cinq Golden Globes, un prix d'interprétation féminine à Cannes, l'Oscar de la meilleure actrice, en 1962, pour La Ciociara, et, en 1991, un Oscar pour l'ensemble de sa carrière.
Cahiers photo papier/numérique
VO : Ieri, oggi, domani
Portrait de Sophia Loren © Alfred Eisenstaedt / The LIFE Picture collection / Getty Images
Éditeur original : Rizzoli
© 2014 RCS Libri S.p.A., Milano.
Tous droits réservés.
Pour la traduction française : © Flammarion, 2014.
"Avant d'écrire le moindre mot, je veux explorer la ville, New Iberia, les paroisses voisines, la Louisiane où vit Dave Robicheaux et qui joue un rôle si déterminant chez James Lee Burke : importance de la lumière, des odeurs, de l'humidité qui transperce le sol, imbibe la végétation. Je veux m'imprégner du pays, de ses traditions, de son Histoire, de sa musique, de son âme. Découvrir sa violence et sa beauté, les faire miennes."
Page après page, Bertrand Tavernier décrit les sensations et les impressions qui ont dessiné les jours pendant lesquels il a réalisé Dans la brume électrique. Le cinéaste est comme envoûté par la Louisiane au lendemain du désastre Katrina, où terres et eaux troublent le regard, où le passé capture le présent, où fantômes et ombres se mêlent à la danse. Par ce récit de tournage, il nous entraîne au coeur de la création, donne à lire ce que son oeil a distingué dans la brume qui noie les lieux, il éclaire le jeu de ses acteurs, dévoile les mystères du cinéma et exalte la magie de la culture cajun. Portée par une langue précise et vibrante, c'est une oeuvre vivante qui se découvre, avec ses heures inquiètes et ses instants de grâce.
10 % des films sortis chaque année réalisent 90 % des entrées. Les mauvais films font de plus en plus d'entrées, les bons de moins en moins. Comme si les spectateurs se satisfaisaient désormais du simulacre de cinéma qui leur est proposé, sous la forme de produits audiovisuels fabriqués avec l'argent de la télévision et pour la télévision. Grâce à l'obstination de quelques-uns, le cinéma est encore un art. Mais pour combien de temps encore ? Et comment en est-on arrivé là ? Si par nature le cinéma est d'un même élan art et industrie, il est aujourd'hui de moins en moins une industrie et de plus en plus un commerce, en ce sens que les opérateurs portent leurs efforts non plus sur le produit, mais sur le marketing. Entre le cinéma majoritaire et le cinéma d'ambition, le courant ne passe plus, la circulation a cessé. Situation aggravée par le renoncement d'une partie des médias, qui paraissent n'avoir d'autre fonction que de relayer et d'amplifier les opérations promotionnelles.
Malle, Antonioni, Truffaut, Losey, Welles, Demy, Buñuel, mais aussi Duras, Blier, Téchiné, Kazan, Fassbinder et puis Wenders, Angelopoulos...
Elle a travaillé avec les plus grands cinéastes, mais son itinéraire d'actrice ne saurait se résumer à une suite de noms et de titres prestigieux. Femme libre, Jeanne Moreau est exigeante, passionnée, anticonformiste. Le secret de son extraordinaire énergie ? Un éveil permanent, une curiosité sans limites. Inlassable exploratrice de la nature humaine, jusque dans ses zones d'ombre et de mystère, elle imprime sa marque à tout ce qu'elle entreprend, théâtre, cinéma, chanson... Son insoumission fait écho à beaucoup des personnages qu'elle a incarnés, mais aussi au caractère rebelle qu'elle manifesta dès l'enfance.
Comme personne, elle a su s'affranchir du temps qui passe et continue d'être du côté de la jeunesse et de ses élans. C'est le tourbillon d'une vie que nous propose ici celui que Jeanne Moreau se plaît souvent à présenter comme son "autobiographe" et dont elle apprécie la fidélité en amitié et la singularité.
Céline Anaya Gautier découvre la chasse à courre par hasard, lors d'une promenade en forêt de Fontainebleau. Fascinée par le spectacle qui se présente à elle, elle décide d'en faire un sujet de reportage et passe trois ans et six mois auprès d'une soixantaine d'équipages dans la France entière. Elle découvre alors un monde méconnu, fortement ritualisé, loin des a priori qui lui sont attachés.
Un reportage photographique intense et spectaculaire entièrement réalisé en argentique.
Willy Ronis (1910-2009) was one of the great photographers of the twentieth century. Selected by MoMA curator Edward Steichen for inclusion in two groundbreaking exhibitions, The Family of Man and Five French Photographers, his work depicts the poetic and poignant reality of life in postwar France. From carefree children to embracing lovers, and from sun-dappled Provence to the cobblestones of Paris, Ronis's humanist eye found joy in the simplest moments of everyday life.
In his last decades, Ronis donated his complete works to the French State. To accompany this gift, he made a personal selection of what he considered to be his most noteworthy images-590 in total-mounting them in a series of albums and providing meticulous commentary on each photograph. Combining anecdotes with historical and technical context, they constitute an essential document on the photographer's long career.
This exceptional volume reproduces, in full, the contents of Ronis's albums for the first time. Together they form a touching, intimate portrait of the life, career, and worldview of a singular artist in the history of photography.
« Le film est le type même de l'oeuvre qui réclame un style. »
Pendant quarante ans, Robert Bresson a accordé nombre d'entretiens à la presse française et étrangère, à la radio et à la télévision. Ses réponses aux multiples questions, de toutes sortes, apportent d'importantes précisions sur ses films, son art et l'évolution de sa pensée. Et elles accompagnent, devancent, prolongent ses Notes sur le cinématographe.
Interrogé par Yvonne Baby, François-Régis Bastide, Michel Ciment, Serge Daney, Pierre Desgraupes, Jean Douchet, Jean-Luc Godard, André Parinaud, Georges Sadoul, Roger Stéphane ou Serge Toubiana, entre autres, Robert Bresson parle avec passion, simplicité, détermination et humour de tous les éléments d'un film qui, savamment combinés, font du cinématographe un art à part entière. L'ouvrage est illustré de photos dont beaucoup sont inédites.
Création Studio Flammarion. Couverture : Portrait de Robert Bresson pris par Hélène Jeanbrau durant le tournage du film Au hasard Balthazar, 1965. © Adagp, Paris 2013.4e de couverture : © Ministère de la Culture / Médiathèque du Patrimoine, Dist. RMN / Sam Lévin.
Et la voilà, l'étoile qui me guide en toutes circonstances : le rêve. Pour moi, la vie est un gros gâteau, avec des tranches de réalité et des tranches de rêve. Ce sont ces dernières que j'avale avec le plus d'appétit, et ça depuis l'enfance.
Bien sûr, au fil des temps, j'ai abandonné l'idée d'être Tarzan ou Geronimo, et après quelques années de latence, j'ai trouvé, après avoir découvert Danny Kaye, le « truc » : devenir acteur. Ainsi, je pouvais continuer à poursuivre mes rêves d'enfance, jouer à être un autre. Vivre mille aventures à travers les personnages que j'interprétais. Je suis devenu publiciste, avocat, assistant social, psychanalyste, mais à ma façon. Seulement voilà, être comédien, c'est quoi ?
Donner vie à des personnages que vous n'êtes pas, avec le plus de réalisme possible, de vérité surtout. Et paradoxalement, c'est toujours moi qu'on retrouve derrière ces personnages et non le contraire. C'est peut-être pourquoi j'ai toujours douté d'être un comédien. C'était toujours moi, confronté à des situations comiques : distrait, inadapté, malchanceux, timide.
Depuis 1962, le mystère de la mort de Marilyn Monroe ne cesse de fasciner. Et, bien que présenté officiellement comme un suicide, le décès de la blonde la plus populaire de la planète suscite aujourd'hui encore d'innombrables interrogations. Marilyn était-elle la maîtresse des frères Kennedy ? John et Robert ont-ils eu leur part de responsabilité dans la disparition de la star ? A-t-il existé un témoin de ses derniers instants ? Quels rôles ont joué la Mafia, la CIA et J. Edgar Hoover, le patron du FBI ? Les résultats de l'autopsie de la comédienne ont-ils été manipulés, le dossier escamoté et la vérité étouffée ? À l'aide de documents rares, certains oubliés, d'autres négligés, mais surtout de témoignages inédits, Marilyn, le dernier secret répond de manière définitive à l'ensemble des questions posées par l'énigme Monroe.
Après l'assassinat de JFK, les secrets de Coca-Cola et les coulisses de l'alimentation industrielle, William Reymond plonge dans les méandres d'Hollywood pour, au terme d'une enquête au rythme haletant, dévoiler le dernier secret de Marilyn Monroe.
Fille du Chemin, Céline Anaya Gautier a parcouru, en quatorze ans et six voyages, 5 000 kilomètres sur les voies de Compostelle.
De Navarrenx à Cabo Fisterra, se déroule ainsi, par le mot et par l'image, le fil d'un périple physiquement et spirituellement éprouvant, où chacun va à la rencontre de soi, au contact des autres et de la nature.
Ses photographies intenses, débordantes de cette expérience de vie unique, se mêlent aux témoignages des pèlerins de tous les continents croisés sur la route.
Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une « tri-thérapie » contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant.Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain.Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le « grand départ ».
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.